Smile

Putain merde, ce soir je vais bien.
Ca fait peur quand ça vous tombe dessus.
On a beau vous avoir prévenu, vous dire "tu verras, un jour ça ira mieux". Franchement, tant que le truc vous est pas arrivé, c'est un peu comme les éléphants roses, vous y croyez moyen.
Mais là ce soir, ben,... Ca va.
Premièrement : une très bonne semaine professionnelle.
Enormément de boulot. Beaucoup. Merdique à souhait. MAIS. MAIS. MAIS. Avec au fond, la sensation du travail accompli et bien accompli. Et arrivé vendredi, quand on conjugue le BEAUCOUP DE BOULOT avec le SENSATION DE TRAVAIL ACCOMPLI, même si nerveusement, on est bien à plat, il y a quand même un grand plaisir. Et ça, ..hmmm...Ca fait du bien.
Et deuxièmement, tout à l'heure, un mail de
Tuna. Tuna et moi, on se lit souvent, mais on s'écrit pas beaucoup. Nos mails sont rares, mais en contrepartie, ils sont souvent précieux (en tout cas pour moi).Et j'ai toujours la sensation d'être étonnement proche d'elle. Et là son mail me le prouve à nouveau. Elle sait les mots justes.
Alors, ce soir...Ca va.
Langues de Putes

Je suis sûrement très naïf, et pour parler franchement très con, je me sens absolument désarmé devant la méchanceté gratuite et bête...
Depuis quelques jours, je sens une énorme colère en moi pour ce que je viens de découvrir au boulot. Colère qu'il vaudrait mieux que je réfrène car si j'explose là bas, je risque de dire des choses qui se retourneraient contre moi.
Mais bon...
J'apprends au fur et à mesure des semaines le genre de propos qu'a tenu sur moi une collègue partie de la boite il y a quelques temps.
Partie avec de grands sourires, bien que nos relations n'aient jamais été réellement cordiales. Mais bon. Pas non plus de francs affrontements.
Et là, suite à un gros conflit avec une de mes responsables, j'apprends tout le "bien" que toute l'équipe pense de moi... Je suis un fainéant, je n'en rame pas une, je cherche à en faire le moins possible, il est impossible de travailler avec moi... Gloups..
Quoi ? Je me défends, j'argumente : mes heures supp' incomptées, jamais rattrapées... Mes jours de congés qui passent à la trappe car pas le temps... Mes formations annulées au dernier moment par moi même car pas au bon moments... Les choses que j'ai rajouté à mon planning car je voyais bien qu'il fallait que quelqu'un les fasse...
Non rien à faire : ma responsable et une bonne partie de l'équipe a priori m'ont catalogué "fainéant", point barre. Pas la peine d'argumenter, la cause est entendue.
Première réaction : la rage. Je me suis dit : puisque c'est comme ça, puisque ce que je fais depuis des années ne compte pas, je ne vais plus rien branler.
Deuxième réaction (pas longtemps après heureusement) : pourquoi ils en sont arrivés à penser ça ????
Sur quelques petits trucs. Très peu nombreux : deux ou trois "frictions" avec ma responsable pour des boulots que j'ai refusés de lui faire (car pas justifiés pour moi, bref). Peu de trucs. Mais pourquoi alors à partir de ce peu de choses, me taxer de fainéant. Je ne comprenais pas...
Jusqu'à je me rende compte que ma collègue partie, dont je parlais plus haut, a distillé, années après années, des propos négatifs sur moi. Qu'elle faisait tout le boulot. Que je n'en ramais pas une. D'où cette "réputation" qu'elle semble avoir entretenue dans l'ombre. Et dont je ne savais rien !
Ce qui veut dire que, depuis des années, quand je reste tard le soir pour finir, quand j'arrive en avance le matin, quand je me décale mes vacances, pendant ce temps là, tout le monde avait convenu que j'étais fainéant de toute façon, puisque Mme X..., ma plus proche collègue, le disait...
Je ne sais pas comment réagir... Dire à tout le monde que cette conne, je ne sais pour quelle raison, m'avait dans le nez ?
Le problème c'est que beaucoup sont restés en bon termes avec elle. Alors la démolir, c'est me mettre tout le monde à dos.
Prouver que je bosse bien ? Mais ça m'énerve de devoir prouver ce que je fais bien depuis des années !! J'ai l'impression de devoir me justifier...
Après la grosse dispute avec ma responsable, où je lui ai exposé tout ce que je faisais (et où elle ne m'a pas entendu), celle ci est venue me voir deux semaine après en me disant : "dommage qu'on en soit venu là, mais depuis notre conflit, je vois que tu fais des efforts et que tout s'améliore"..
Gloup.
Mais CONNNNE, je n'ai absolumment rien changé à ma facon de travailler.... J'ai toujours travaillé comme ça !!!
Mais du coup, après la dispute, elle a du essayer de regarder réellement (pour une fois) ce que je faisais. Et a trouvé ça bien. Alors que ce qu'elle pensait de moi avant lui avait été "vendu" par mon ex-collègue...
Mme X., ma collègue partie, j'ai envie de l'exploser... Je me sens sali par elle. Je ne sais pendant combien de temps elle a déversé du fiel sur moi, mais j'en paie maintenant les pots cassés, c'est effrayant.
Et devant la rumeur, rien ne sert de se défendre. La cause est entendue. Tout ce que je peux dire pour me défendre sonne suspect et faux....
C'est dur, car je fais déjà un travail pas facile. Où je m'investis pas mal. Mais en plus, si je dois gérer les médisances et les ragots, c'est trop. Ca, je ne sais pas faire.
Ce qui me fait le plus mal finalement, c'est que pendant des années, beaucoup ont du me regarder avec l'étiquette que l'autre grosse conne m'avait collé, alors que moi je n'en savais rien du tout. Du coup tout devient suspect. Je ne sais plus à qui je dois faire confiance, ni qui pense quoi de moi... La merde totale quoi.
Pour l'instant, je me concentre sur mon boulot. Car je l'aime ce boulot ! Mais j'ai besoin de faire confiance aux gens autour de moi. J'ai besoin de me sentir dans une équipe, une réelle équipe. On peut me dire qu'il faut s'en foutre, désolé, je ne peux pas. Passer pour ce que je ne suis pas aux yeux des autres m'est insupportable.
Alors je fais ce que j'ai toujours fait. Je travaille. Bien il me semble. J'en rajoute même encore, ce que je voulais éviter. Mais bon encore un exemple cet après midi (c'est pour ça que je suis en colère) ; j'avais posé ma demi-journée. A 15h30, j'étais encore au boulot pour finir un dossier...
Bref. Epuisant. Moi je pensais bêtement qu'on était des professionnels et qu'on était pas dans la cour d'une école maternelle. Et ben si.
Et attention, ma collègue partie, Mme X, a gardé de bons contacts avec plusieurs autres. Et se voient de temps à autre pour des restos et repas... Donc je me doute que son potentiel de nuisance n'est pas épuisé... Et qu'on a pas fini d'en raconter sur mon dos...
Y'a des jours, il faudrait que les bazookas soient en vente au Carrefour du coin.
Brief Instant Despair

Depuis quelques jours, pour mille et un petits et grands événements trop long à détailler ici, j'ai au ventre cette sensation tenace qui ne me lâche pas.
Celle d'avoir raté quelque chose, celle d'être un raté tout court.
Surtout professionnellement. L'angoisse latente et permanente de ne pas être à la hauteur. Et devant l'attente des autres, les mots gentils, la sensation de duper constamment mon monde sur mes compétences. L'angoisse d'être découvert comme je me sens moi même : dans toute la nullité intégrale que je sens au fond de moi.
J'avoue bien connaître cette sensation lancinante, car périodiquement j'en passe par des périodes comme ça où je doute de tout, surtout de moi.
C'est bizarre comme intellectuellement, je sais dire que c'est faux, que je vaut mieux que ça, que je sais faire telle ou telle ou chose.
Alors qu'émotionnellement, la sensation reste tenaillée à mon ventre, indélogeable par mes raisonnements, mes réflexions...
Et lorsque c'est comme ça, ma parano se met en route sur le mode turbo et c'en est épuisant. Je scrute tout regarde, décortique tout commentaire, analyse toute réaction. "Pourquoi elle m'a dit ça comme ça", "pourquoi il a fait cette blague là ?"... Tout le temps, toute la journée.
Comme j'ai au fond de moi la certitude d'être nul à ce que je fais, je redoute le regard, la phrase me faisant penser que l'autre s'en aperçoit...
Le pire, c'est qu'en écrivant tout ça ce soir, je me rends compte de la bêtise de mes pensées, j'arrive à en prendre du recul. Mais quand cette sensation est là, je ne peux pas l'enlever. Je parle de sensation parce que c'est quasi physique. C'est une sensation que je sais reconnaître entre mille, une sorte de boule, de tension, avec quelque chose de lancinant. Très physique donc, avec l'impression d'une petite voix qui répète constamment les mêmes choses...
On dit que l'Estime de Soi a rapport avec l'Amour qu'ont porté ses parents. Est-ce là la clef du mystère ? Ai je manqué d'Amour ?
Je sais que ma mère me portait un très grand amour. Je me rends compte aussi maintenant qu'il était maladroit car en même temps, trop dit et non dit. Trop dit dans les mots, et finalement peu dans l'intérêt qu'elle a pu porter à ce que j'aimais ou qui j'étais. Je sais aussi que ma mère a été élévé par des parents aimants, certes, mais très froids et très rigides dans leurs attitudes. Je ne la blâmerai donc pas.
Quant à mon père, sa "fuite" à mes sept ans a sûrement contribué à entretenir cette pauvre estime que j'ai de moi même. Pourquoi serait il parti s'il m'aimait vraiment ? Je suis persuadé que c'est une question que j'ai du me poser à un moment ou à un autre de ma jeunesse. Et surtout, par la suite, la même question qui se poursuit : devant le désintérêt de mon père, la même peur de ne pas être aimé, la même peur de ne pas avoir été à la hauteur de ses espérances (qu'il n'avait sans doute pas d'ailleurs pour moi).
Voilà le vrai problème. Je porte en fardeau les mêmes peurs et les mêmes terreurs que j'avais à mes sept ans. Comme tout à l'heure je pourrais dire : intellectuellement j'ai grandi et compris plein de choses. Emotionnellement, rien n'a changé et c'est comme si les mêmes émotions étaient toujours là à fleur de peau, prêtes à resurgir et faire leur travail de sape.
C'est con le passé des fois.
Je me souviens d'une phrase dans un livre de Cyrulnik :
"Le plus dur dans la vie, c'est qu'on ne peut pas changer de mémoire..."
A gauche-gauche

Ouille, ça fait mal ça.
Je ne crois pas d'ailleurs que vous vous doutiez du nombre de récepteurs nerveux qu'il peut y avoir dans un cou. Moi si.
Depuis hier, je me traîne un torticolis, qui me achève de me donner un air tout à fait ridicule en toutes circonstances.
Impossible de tourner la tête à gauche. Du coup, je ne vois le monde que sur la droite.
Après 48 heures d'observation, je peux vous affirmer que la partie droite du monde est strictement aussi pourrie que la partie gauche. J'ai vu les mêmes photos de la mort du pape. Pire, j'ai même vu des choses sur la mort de Rainier, c'est pour dire.
Quant à la mort de Céline Dion, ça, ça a du se passer à gauche, parce que je n'en ai rien su. Je vous avais bien dit que c'était pourri, non ?
Le pire c'est qu'au travail, je suis quand même en contact avec pas mal de monde. Les ceusses qui ont deux-trois neurones dans le crâne ont du comprendre que j'étais légèrement bloqué. Pour les autres, j'ai bien peur qu'ils n'aient rien capté et m'aient juste pris pour un demeuré. Bah tant pis, je m'en remettrai, hein.
Pour revenir à Rainier, autant la mort du pape m'avait quand même touché, même si j'étais loin de certaines de ses idées, autant je ne peux rien ressentir pour la disparition de Rainier... Quand je pense au nombre de grand-mères, fidèles lectrices de Gala et Ici-Paris, qui vont pleurer toutes les larmes de leur corps pour cette disparation...
"
Oh ma brave Raymonde, vous vous rendez compte, tous ces malheurs pour la pauvre Stéphanie...Sa maman...Et maintenant son père...La pauvre.... Pis faut qu'elle élève sa famille toute seule aussi vous savez....Et Albert, vous croyez qu'il aime les femmes vous ?"...
Bref, vous voyez le niveau. Autant le pape amène des réflexions profondes, autant la principauté d'opérette qu'est Monaco n'inspire rien. Sinon argent et spectacle. Du vent quoi. C'est dommage d'avoir autant d'argent et de notoriété et de ne rien en faire, sinon des photos pour les ouvertures de bals. (de baux ???)
Je me doute que Stephanie, Albert et Caroline ont leur part de bonnes oeuvres, de visites aux chti nenfants malades dans les hopitaux (et hop la photo), de remises de chèques aux associations (et hop la photo), de participation à des galas de charités (et hop la tv)... Mais bon, j'ai pas non plus l'impression qu'ils se soient mis au service d'une grande cause ? Mais je me trompe peut être.
J'ai un peu l'impression que ces monarchies fantoches pourraient au moins avoir ce rôle là : utiliser leur notoriété à de bonnes causes. Lady Di a eu cette image, même notre Bernadette nationale le fait. On peut critiquer bien sur, mais au moins, il y a quelque chose qui se passe et qui donne une impulsion.
Bien sur que c'est facile de s'intéresser au malheur des autres quand on vit dans un quotidien doré. Mais en même temps, la photo du chi nenfant malade dans Ici Paris, elle fera peut etre pleurer quelques mamies qui enverront des dons. A force de parler du Sida, on peut faire avancer les mentalités. Toute bonne volonté est donc à prendre non ?
Or Monaco... Franchement à part la vision " monarchie à la une de tous les journaux à potins", je n'ai pas grande impression sur eux tous...
Dommage...
Mais bon, comme je le dis, aujourd'hui je ne regarde que du coté droit. Si ca se trouve, il y avait plein de bons arguments pour défendre la principauté sur ma gauche, mais là d'où je suis, je ne les vois pas. Si vous les avez captés, envoyez les moi, ca m'aidera.
D'ici là, recherche masseuse experte pour soulager les torticolis. Expérience exigée.
Envoyez CV + photos (habillée et en maillot). Mme de Fontenay départagera (cérémonie finale bien sur à Monaco sous l'égide d'Albert).
See you soon
In Memoriam

Une grande partie du week-end à entendre parler de la mort de Jean-Paul II.
Je ne peux pas dire que ça me laisse indifférent. Même si j'ai exécré ses prises de positions sur le préservatif, la contraception, l'homosexualité, je ne peux pas avoir de sentiments trop négatifs envers cet homme.
J'en garde l'image de quelqu'un qui oeuvrait profondemment pour la paix et qui vivait en accord avec ses idées. Je comprends l'opinion de l'Eglise sur le respect de la Famille, au sens le plus traditionnel du terme. Je suis d'accord aussi pour dire que les valeurs familiales se perdent et que c'est dangereux.
Mais je crois qu'il faut aussi vivre avec son époque... Diaboliser le préservatif, lorsqu'on voit les dégats du Sida dans les pays défavorisés (où pour certains, l'opinion de l'Eglise joue un grand rôle), c'est criminel... Oui l'abstinence, oui la fidélité. Bien sur qu'il faut défendre aussi ces valeurs.
Dire de l'homosexualité que c'est un péché mortel... A part culpabiliser d'avantage les homosexuels, je vois pas trop l'intérêt de la chose... A priori, on ne maîtrise pas ses choix sexuels. Comment obliger un homo à devenir hétéro ? Dire que c'est un péché, c'est dire aux homos de ne pas vivre leur sexualité. Et donc ? Se "forcer" à être hétéros, quitte à construire une relation de couple basée sur le mensonge et la non satisfaction ? Pffff.... Ou bien devenir prêtre ???
Mais je suis d'accord qu'il faut reparler de la fidélité, de l'amour dans la relation. Il faut qu'il y ai quelque part quelqu'un qui défende des valeurs universelles. Le pape, peut être. D'autres aussi surement le peuvent. Les vraies valeurs, je crois qu'elle transcende la religion. C'est la tolérance, l'amour. Oui peut être finalement, l'amour. Dans le coté universel du mot, dans toutes ses formes.
D'ailleurs j'ai toujours été frappé par ce qui peut transparaître dans le message de Jésus sur l'Amour, et que j'ai toujours trouvé très actuel, très fort (débarassé des à-cotés inhérents à l'époque où cela a été dit). Et j'ai toujours trouvé très loin finalement de ce message ce que pouvait faire l'Eglise.
Que l'Eglise défende ces valeurs fondamentales, oui. Qu'elle se mêle de sexualité, surtout de manière aussi dangereuse et culpabilisante, non, là ca ne me va plus.
La fidélité, bien sur qu'il faut défendre cela, c'est la base d'un couple. Mais d'autres couples vivent bien dans des unions "libres". Méritent ils la damnation éternelle pour autant ?....
Je défends l'idée que dans la sexualité, personne n'a à intervenir dans ce qui se passe entre adultes consentants (les deux mots sont importants : adultes ET consentants). On doit condamner ceux qui envisage la sexualité avec les mineurs, et ceux qui pensent pouvoir se passer du consentement. Condamner fermement même.
Mais pour le reste... Je n'ai pas d'a priori. Je ne m'imagine pas fouetté et habillé en combinaison en cuir... Mais si d'autres y prennent leur pied, où est le problème ? Je ne m'imagine pas faire une méga orgie, mais certains y trouvent leur compte, why not ?
Je crois que la sexualité est quelquechose de très personnel et ce n'est pas à l'Eglise ou la Loi de nous dire comment la vivre.
Qu'une personne multiplie les conquêtes, moi, ca ne me choque pas, mais à une condition : ne pas mentir aux autres, ne pas blesser. Avoir envie d'une fille physiquement, et avoir envie d'une relation purement et simplement physique, je n'y vois pas le mal. A la seule condition de ne pas mentir. De ne pas dire "Je t'aime" alors qu'on sait que ça ne durera pas.
Le problème est peut etre que certains confondent trop le "je t'aime" avec le "je te désire". Pour moi, l'un ou l'autre est entendable, mais il ne faut pas confondre...
Si deux adultes ont envie de vivre une relation physique, sans qu'il y ai derrière de fausses promesses, qu'avons nous à en dire ? Rien. Ca relève de la sphère privé, je ne vois pas en quoi la morale pourrait être choqué. Je suis d'avantage choqué par les cathos-bon teint militant au Front National... Ce qui choque ma morale, ce serait d'avantage les salaires faramineux des dirigeants de multinationales que ce qui se passe au sein du couple...
C'est pour ça, par contre, que je reste admiratif du travail de paix, de rapprochement des peuples, de tolérance qu'a fait le Pape. Je crois que là, son message a porté. Son message de Paix, je trouve ça très fort. Très fort qu'il y ai quelque part dans le monde cette voix là pour le dire. Parce que franchement, ceux qui, par fonction, devrait défendre la paix (ex : l'ONU), je crois que leur discours est complètement dévoyé par les intérêts politiques, financiers, les manoeuvres, les alliances.
Bref. Partant de Jean-Paul, j'arrive à un débat sur la sexualité. Qu'est ce qui m'arrive donc ? Ca doit être ces premiers rayons de soleil qui ont réveillé mes hormones.
Vite, ma camomille, mon Lexomyl, faites quelque chose !